La deuxième méthode de voyant au temps des chevaliers que nous venons explorer est la divination. La divination médiévale englobait une multiplicité de pratiques visant à prédire l’avenir ou à recevoir des avis en interprétant des signes ou des symboles. Voici neuf ou 10 portraits de pratiques divinatoires courantes à l’ère médiévale. Hépatoscopie : Cette pratique consistait à comparer les entrailles d’animaux sacrifiés, comme des poulets ou des moutons, pour prédire l’avenir. Les divinateurs observaient les motifs et les caractéristiques des organes internes pour comprendre les données élégants. Cartomancie : La clairvoyance était un genre de divination qui utilisait des jeux de tarot, de temps à autre des sports de voyant ou des oracles ordinaires, pour prédire l’avenir. Chaque cb avait une signification défini, et les divinateurs les disposaient dans des motifs spécifiques pour réussir à avoir des réponses. Ornithomancie : Cette forme de divination impliquait l’observation du vol et dus à nos habitudes au niveau des oiseaux pour prédire l’avenir. Les gestes et les cris des oiseaux étaient interprétés par exemple des signes délicieux. Gyromancie : La gyromancie consistait à courir partout en cercle sur une grande lettre de l’alphabet ou un emblème hors du commun tout en récitant des prières ou des incantations. Le point où le tarologue s’arrêtait était censé interpréter une velléité paradisiaque. L’oniromancie : Cette technique se concentrait sur la critique des plans. Les personnes racontaient leurs pensées à des interprètes de intentions qui cherchaient à en décharger des données et des conseils pour l’avenir. L’astrologie élective : Plutôt que de juste prédire l’avenir, ciromancie élective visait à privilégier le moment le plus positive pour entreprendre une opération spécifique. Les prophètes électifs conseillaient sur les phases propices pour l’homme parfait, les voyages, les entreprise, etc. La géomancie : La géomancie était un genre de divination qui impliquait de tracer des figures géométriques, appelées minois géomantiques, et de les sentir pour répondre à des demandes ou avoir des avis. La magie noire : Bien que considérée comme une pratique interdite par l’Église, la sorcellerie impliquait la communication avec les morts pour recevoir des informations sur l’avenir. Cette procédure était quelquefois combinée à la magie et à des rituels surnaturelles. Il est très utile d’inscrire que la voyance médiévale était assez souvent influencée par la superstition, la beauté et la religion. Elle était pratiquée de manière diverse en fonction les civilisations et les régions, et elle variait en termes de croyance et de statut social. Bien que plusieurs de ces pratiques sera critiquées par l’Église catholique à l’âge, elles ont continué à avoir un rôle important dans la industrie médiévale en tant sur le plan que moyens de chercher des conseils et de tenter d’aprehender l’avenir.
Les chevaliers et les internautes de l’époque médiévale étaient entre autres adeptes par la transformation et la sorcellerie par exemple instruments de voyance et de compréhension de l’avenir. Voici deux ou trois domaines de la magie et de la sorcellerie au moyen Âge. Utilisation d’amulettes et de talismans : Les chevaliers et les internautes ordinaires portaient certaines fois des amulettes ou des talismans censés les écarter des forces maléfiques ou leur offrir de la chance. Ces objets étaient relativement souvent ornés de symboles énergétiques et de prières. Sortilèges et incantations : Les professionnels de la magie médiévale utilisaient des sortilèges, des formules sacrés et des incantations pour influer sur les finalités attendus ou pour obtenir des lignes personnels. Les mots et les gestes étaient considérés par exemple possédant un genie magique. Potions et élixirs : Les alchimistes et les vaticinateurs préparaient des potions et des élixirs avec des herbes, des minéraux et des ingrédients. Ces concoctions étaient destinées à avoir des bienfaits soulageantes, mystiques ou prophétiques. Consultation de voyant et de voyant : Les consultants en quête de réponses à leurs questions ou de moyens techniques avaient l’occasion de consulter des gens, des cartomanciennes ou des envoûteurs. Ces corps professionnels prétendaient obtenir la capacité de communiquer avec des esprits ou des forces occultes pour avoir des informations sur l’avenir. L’utilisation de symboles et de cercles parapsychiques : Les cercles parapsychiques et les symboles précis étaient quelquefois dessinés ou tracés lors de rituels spirituels pour suggérer des caractéristiques ou des forces surnaturelles. Ces symboles étaient censés renforcer la potentialite du rite. La transformation cérémonielle : Certains pratiquants de la beauté médiévale s’engageaient dans des rituels cérémoniels complexes, quelquefois basés sur des règles anciennes, dans la finalité d’invoquer des esprits, de prédire l’avenir ou de recevoir des puissances spirituels. Pour ceux qui ont des questions à thèmes de comment donner voyance en ligne gratuite, vous pouvez nous faire part de via email sur notre plateforme internet internet. l est important de marquer que la magie et les pratiques occultes issue de la sorcellerie étaient souvent politiques avec suspicion par l’Église catholique et les organismes civiles. Les clients accusées de magie pouvaient devenir persécutées et condamnées pendant les chasses aux sorcières, qui ont culminé aux XVIe et XVIIe siècles. Au fil de la période médiévale, la transformation et la magie étaient souvent entremêlées avec la croyance et la innoncence, et elles variaient énormément en fonction des traditions locales et des coutumes régionales. Bien que la magie et la sorcellerie aient évolué au fil des moments et qu’elles aient pris quelques formes dans plusieurs cultures, elles ont forcément représenté une tentative de comprendre et d’influencer l’avenir par des solutions énergétiques.